M. Claude Lebrun
M. Claude Lebrun - Texte original de 2006
Claude est né le 18 juin 1944. Il est le fils aîné d’Adélard Lebrun et de Marie-Ange Riopel. Il a deux frères, Gilles (décédé) et Daniel (à sa retraite). Il fait sa première année du primaire à la petite école du village qui était au coin de la rue St-Isidore et Grégoire. La bâtisse est maintenant déménagée sur la rue Grégoire (aujourd’hui Gilles Beauséjour), puis il va à l’école Dominique-Savio.
Il fait son cours classique au collège Notre-Dame des Servites à Ayersclif dans les Cantons de l’Est. Claude aime le hockey, sport qu’il pratique quatre fois/semaine dans la ligue inter-collégiale. Il prend des cours de perfectionnement : en administration alimentaire, en gestion administrative, en gestion de viandes, de fruits et de légumes.
En 1969, il s’associe pour acheter le marché d’alimentation qui a appartenu à Normand Lafortune, dans les années 50, puis à Clément Marois jusqu'en 1969. En 1975, il achète la part de son associé. En 1986, lors d’un concours d’AXEP, Michel Forget, est l’un des invités au magasin. En 1988, c’est la reconstruction d’un nouveau marché d’alimentation, qu’il a opéré jusqu’en 2001 où il a vendu à son fils, Mario. Claude a toujours travaillé dans le domaine alimentaire.
Marié en 1972, à Monique Vézina, deux enfants naîtront de cette union, Mario et Yves. Mario prend la relève du commerce et Yves est conducteur de poids lourds depuis les années 2000. Mario a trois filles : Noémie, Béatrice et Mariane. Yves a deux garçons : Jonathan et Jérémie.
Claude demeure dans la maison familiale que son père a achetée en 1940. Cette maison a été déménagée de la rue Euclide à la rue Principale. Il y avait de grandes fêtes chez le grand-père Riopel, surtout au Jour de l’An. Sa maman, qui était petite, avait beaucoup de caractère, une santé de fer, elle est décédée en 1993, à l’âge de 87 ans, peu après s’être cassé une hanche. Son papa, est autoritaire, menuisier de finition. Son papa fait ses débuts à Saint-Esprit au Moulin à scie de Roger Tremblay, il est dans ceux qui bâtissent la Meunerie coopérative de Saint-Esprit, il y travaille et puis va travailler pour les Sœurs de la Providence à Montréal.
L’implication de Claude dans la société est grande. Il est trésorier de la chambre de commerce de Saint-Esprit dans les années 60. Il est trésorier et Grand Chevalier de Colomb dans les années 70 et 80. Cet organisme fermera dans le début des années 90. Il est membre du Club Richelieu dans les années 80, club social pour les hommes d’affaires. Lors des soupers, ils se donnent des amendes entre eux (ex : la cravate est obligatoire et si tu ne l’as pas tu as une amende de 25 sous). Tous ces petits montants accumulés sont versés pour les jeunes que ce soit le Club de boxe ou autres organisations paroissiales. Dans les années 60 et 70, il est membre du comité du Carnaval et sa responsabilité est d’organiser les soirées du vendredi soir. Ses soirées spectacles ont reçu Les Bélairs, Paolo Noël, Christine Chartrand et bien d’autres. Lors de ces soirées, il en profite pour s’amuser et danser. Il est dans le conseil d’administration pour la fondation de la Maison des Jeunes de Saint-Esprit. Il travaille sur les dossiers suivants : l’achat de la maison, la charte et la planification pour que les jeunes s’amusent. Directeur du conseil administratif de l’OMH de Saint-Esprit depuis les années 90, il en est président depuis six ans.
Claude est maintenant en semi-retraite, il aide parfois au magasin et fait de menus travaux pour ses enfants. Dans ses loisirs, il fait de la bicyclette, sur les pistes cyclables et joue au golf à l’occasion. Il aime la lecture et le cinéma, sa préférence va pour les films québécois.
Grand-papa est heureux de garder ses petits-fils et prend plaisir à jouer avec eux ce qu’il ne s’était pas permis avec ses fils.